-"¡Ah; el móvil, sí!"

-"Sí: el móvil. ¿QUÉ pasa?, ¿eh?"

-"¡Nada, mujer; nada! Que, oye.., ¡como tu tercer brazo y tu tercer ojo tu móvil, oi?"

-"Escúpelo ya, va..."

-"¡Mujer..!, ¡cómo eres!; ¡"escúpelo"..!"

-"¿No ves que te conozco incluso más que si te hubiese parido, Jaume? Va.., ¿tienes ganas de marchita y me toca a mí?; pues, ¡va..!, escúpelo ya y menos miriñaques y bizantinismos que a mí -ya lo sabes- SOLAMENTE me privan los miriñaques, los bizantinismos, los rodeos, los prolegómenos y el disfrute de tu innegable maestría con los verbos, los sustantivos y los adjetivos cuando cuentas anécdotas de OTROS ante la llar de foc ¡y NO cuando está -como a tí te gusta decirlo- clarito, clarito, clarito como el agua hiper-destilada para heroinómanos/as de purísima sangre azul tope higiénicos/as y sin ni pizca de tendencias suicidas o así que -de buen rollo, sí ; ya, ya, ya...- la prota va a ser mi menda y vas de cañero coñón, además..! En resumen: que escupas ya, OK?"

-"Exageras un montón con lo de ¡"maestría"!, mujer... En realidad..."

-"Que escupas, tío..."

-"Cómo eres, cómo eres, cómo eres... Bueno..; a ver, a ver..; que lo que me había venido a la cabeza, chérie, es, ¿recuerdas?, la opinión que, no ha tanto {cfr., v.g., m/. modestísimo, humildísimo post de intro en este hilo (09/01/2012; 05'40 hs. a.m. -hora del foro-)}, sin ir más lejos ¡un servidor! tenía versus el móvil..; recuerdas.., oi?"

-", Jaume"

-"Y..; bueno..; a ver.., a ver... ¿Sabes?; aussi me rondaban por la cabeza algunas de TUS opiniones (más bien todas TUS opiniones al caso, para ser exigiblemente preciso) no hace tanto..; ¿las recuerdas, chérie?"

-", chéri"

-"Ya. Ya, ya... En fin..; que NO vas a dar juego.., ¿verdad?"

-"NO. A tí, Jaume, no más mola darte juego cuando los 'dardos' ¡son para otro/a! De lo contrario, tío, es lo más inteligente ceñirse rigurosamente a la máxima de tu queridísima, amadísima, añoradísima madre, a.c.s. -o sea: mi queridísima, amadísima, añoradísima tía-abuela política por parte materna, a.c.s.-, cuando, ¿recuerdas?, sentenciaba, ¡oh; CUÁN lúcida, sí!, que, ¡vamos..!, es mejor comprarte el traje que más te guste, cueste lo que cueste, antes que escucharte; y, si hay que vender el alma al Diablo para tener la pasta precisa (porque tú eres de los de morro MUY fino), pues.., ¡con tal de no escucharte!, se vende y Santas Pascuas que, en su momento, Dios, ¡dadas las circunstancias..!, ¡vamos..!, ¡SEGURO que comprenderá..!"

-"Vaya por Dios..."

-"Va, va, va..; y, a todo eso..; ¿sabes de qué estoy DESEANDO como agua de mayo me hables?, ¿eh? Verás..; he estado mirando la Wikipedia sobre la historia del pueblo..."

-"Pero.., ¡si NO hay nada!"

-"En la versión castellana, Jaume..; pero mi francés es, por lo menos, TAN bueno como el tuyo..; ¿vale? Que, en resumen, estoy DESEANDO a TOPE, tío, EXTASIARME con que me expliques bien TODO lo que allá no más se apunta TAN escuálida y pobremente. Va, Jaume..; ¡no me hagas rogar que no me gusta, Jaume!"

"Au XVe siècle, les pêcheurs euskalduns du port de Donibane Lohizune explorèrent les premiers les bancs de Terre-Neuve et la pêche à la morue jointe à la chasse à la baleine accrurent considérablement la prospérité de la commune. Du XVIe au XVIIIe siècle, la ville devint un nid de corsaires qui combattaient pour le compte du roi de la France. L'enrichissement du port et l'afflux de population furent tels qu'il en résulta l'urbanisation de Ziburutar, quartier détaché d'Urruña (...). Le début du XVIe siècle en Lapurdi (Labord, en occitan) est marqué par l'apparition de la PESTE (...). Paul-Raymond Lechien, "Paul Raymond", note que la baronnie de Donibane Lohizune appartint au chapitre de Baiona jusqu'en 1621. Donibane Lohizune, souvent prise et PILLÉE par les "espagnols", souffrit longtemps de sa position frontalière. Elle subit notamment, en 1558, un INCENDIE qui n'épargna qu'une seule maison -celle où résidait le chef du contingent ibérique ayant occupé la cité-. C'est à la fois pour faciliter le mouillage des navires et protéger la baie que le roi Henri IV entreprit de construire le fort de Socoa (commune de Ziburutar). Donibane Lohizune connut son heure de GLOIRE lorsque, à l'issue du traité des Pyrénées conclu quelques mois plus tôt (7 novembre 1659) par le cardinal Giulio Raimondo Mazzarino, principal ministre d'État de 1643 à 1661. Louis XIV vint y épouser Mª Teresa de Habsburgo, Infanta de España, Infanta de Portugal et Erzherzogin von Österreich, le 9 juin 1660. La porte de l'église Saint-Jean-Baptiste, franchie à sa sortie de l'église par le couple royal, fut MURÉE trois ans après la cérémonie, quoique l'inscription gravée dans le mur donne à croire que la condamnation de la porte a été réalisée juste après le mariage. En 1713, le traité d'Utrecht abandonnant Terre-Neuve à la Grande-Bretagne porta un coup FUNESTE à Donibane Lohizune. À la fin du siècle, la baleine ayant DISPARU du Bizkaiko golkoa et l'océan ayant rompu les barres du Zokoako itsasargia et de Sainte-Barbe, qui protégeaient la baie, le port et une partie de la ville se trouvèrent RUINÉS. Ce fut la DÉCADENCE (...). Sous la Révolution, la commune fut rebaptisée, comme beaucoup d'autres localités euskaldunes. Fusionnée avec Ziburutar le 24 novembre 179327, elle porta en effet (du 21 novembre 1793 au 20 mars 1795) le nom de Chauvin-Dragon, d'après le patronyme d'un dragon (le terme désigne des militaires se déplaçant à cheval mais combattant à pied, bien que certaines périodes de l'histoire aient fait déroger à cette règle dans leur attitude de combat) de la commune, TUÉ par les "espagnols" en défendant une redoute. Euskal Herria en général et Donibane Lohizune en particulier souffrirent ÉNORMÉMENT de la Révolution et de l'Empire: les guerres continuelles avec les "espagnols" amenèrent des régiments de soldats avec leurs RÉQUISITIONS, leurs PILLAGES et les combats (...). Au XIXe siècle, les digues, souvent détruites, furent reconstruites afin d'assurer DÉFINITIVEMENT la sécurité du port et de la ville. Les voyages de Napoléon III dans la région puis l'engouement de la bonne société pour la Côte euskaldun DÉBOUCHÈRENT à cette époque, avec l'arrivée du chemin de fer, sur un GRAND essor touristique. À la suite de l'édification de ses trois digues (Socoa, l'Artha, et Sainte-Barbe), Donibane Lohizune NE fut plus systématiquement envahie par les eaux lors des grandes tempêtes, comme cela avait été souvent le cas auparavant (en 1749, une TERRIBLE tempête RAVAGEA le port, 200 maisons furent RASÉES et plus de la moitié de la population a du QUITTER la ville). Cassant les gros rouleaux venus de l'océan, ces digues contribuèrent, dès le début du développement des bains de mer, à faire de Donibane Lohizune un lieu de villégiature TRÈS prisé des familles (...). Le développement touristique n'en fut pas entravé, Donibane Lohizune restant une destination élégante et à la mode. À proximité du site de Sainte-Barbe, où l'un des tout premiers parcours de golf du continent avait été ouvert, le baron Firmin Van Bree, aviateur belge tombé amoureux du Euskal Herria, créa un motel UNIQUE (...). Après 1945, les industries du quartier Fargeot disparurent progressivement, victimes de la surpêche et de la concurrence. Ce phénomène renforça l'aspect cossu et touristique, jamais démenti, de Donibane Lohizune (plus de 40% des logements de la commune seraient aujourd'hui encore des résidences secondaires). L'agglomération s'étendit dans les années 1960 vers le Nord (avenue de l'Océan) puis le Sud {quartier Urdazuri (...)}. De nos jours, la «cité des corsaires» vit de plus en plus ouvertement du tourisme. Sa grande plage, TRÈS sûre pour les enfants, est très appréciée. Les éventuels effets pervers du développement économique et démographique moderne (engorgement relatif de la circulation, inflation des prix immobiliers, vieillissement accéléré de la population résidente, surcoûts liés à l'entretien de réseaux surdimensionnés, voire perte d'identité culturelle) sont toutefois au cœur des préoccupations de la ville et y alimentent parfois de vifs débats. Il n'en reste pas moins que Donibane Lohizune, tout en constituant un maillon fort du réseau urbain littoral, constitue un cadre de vie PRIVILÉGIÉ. Tout en restant fidèle à sa longue tradition d'accueil, elle maintient un caractère euskaldun INDÉNIABLE..." {Wikipedia, dixit}

Siempre, en cualquier caso, a su disposición, damas y caballeros.

Jaume de Ponts i Mateu